Édition & Revue

Nouveauté

Proximités N°7 : Jardin

10,00

Proximités N°7 : Jardin


La revue « Proximités – arts et littératures » est éditée par l’Atelier IMIS.
Le principe est simple : choisir un thème en lien avec l’actualité et en rapport avec un livre édité par l’Atelier IMIS, le laisser se développer sur une année dans toutes les directions possibles pour aboutir à une exposition fédératrice.
Nous voulions éditer un catalogue qui regrouperait toutes nos réflexions et serait une mémoire, un témoin de cette année de recherche, de travail et de création, avec une volonté d’ancrage géographique, culturel et citoyen.
Il était indispensable de partager ce projet avec d’autres, plus particulièrement avec des artistes dont le travail nous semble être dans la proximité du nôtre. Ces rencontres font de ce catalogue une revue.


Disponible

Proximités N°6 : l’Impatience

9,00

Proximités N°6 : l’impatience


La revue « Proximités – arts et littératures » est éditée par l’Atelier IMIS.
Le principe est simple : choisir un thème en lien avec l’actualité et en rapport avec un livre édité par l’Atelier IMIS, le laisser se développer sur une année dans toutes les directions possibles pour aboutir à une exposition fédératrice.
Nous voulions éditer un catalogue qui regrouperait toutes nos réflexions et serait une mémoire, un témoin de cette année de recherche, de travail et de création, avec une volonté d’ancrage géographique, culturel et citoyen.
Il était indispensable de partager ce projet avec d’autres, plus particulièrement avec des artistes dont le travail nous semble être dans la proximité du nôtre. Ces rencontres font de ce catalogue une revue.


Disponible

Proximités N°5 : Nature, fantasme ou réalité ?

9,00

Proximités N°5 : Nature, fantasme ou réalité ?


La revue « Proximités – arts et littératures » est éditée par l’Atelier IMIS.
Le principe est simple : choisir un thème en lien avec l’actualité et en rapport avec un livre édité par l’Atelier IMIS, le laisser se développer sur une année dans toutes les directions possibles pour aboutir à une exposition fédératrice.
Nous voulions éditer un catalogue qui regrouperait toutes nos réflexions et serait une mémoire, un témoin de cette année de recherche, de travail et de création, avec une volonté d’ancrage géographique, culturel et citoyen.
Il était indispensable de partager ce projet avec d’autres, plus particulièrement avec des artistes dont le travail nous semble être dans la proximité du nôtre. Ces rencontres font de ce catalogue une revue.


Disponible

Proximités N°4 : Intimes

9,00

Proximités N°4 : Intimes

La revue « Proximités – arts et littératures » est éditée par l’Atelier IMIS.
Le principe est simple : choisir un thème en lien avec l’actualité et en rapport avec un livre édité par l’Atelier IMIS, le laisser se développer sur une année dans toutes les directions possibles pour aboutir à une exposition fédératrice.
Nous voulions éditer un catalogue qui regrouperait toutes nos réflexions et serait une mémoire, un témoin de cette année de recherche, de travail et de création, avec une volonté d’ancrage géographique, culturel et citoyen.
Il était indispensable de partager ce projet avec d’autres, plus particulièrement avec des artistes dont le travail nous semble être dans la proximité du nôtre. Ces rencontres font de ce catalogue une revue.


Disponible

Proximités N°3 : Fragilité

9,00

Proximités N°3 : Fragilité

La revue « Proximités – arts et littératures » est éditée par l’Atelier IMIS.
Le principe est simple : choisir un thème en lien avec l’actualité et en rapport avec un livre édité par l’Atelier IMIS, le laisser se développer sur une année dans toutes les directions possibles pour aboutir à une exposition fédératrice.
Nous voulions éditer un catalogue qui regrouperait toutes nos réflexions et serait une mémoire, un témoin de cette année de recherche, de travail et de création, avec une volonté d’ancrage géographique, culturel et citoyen.
Il était indispensable de partager ce projet avec d’autres, plus particulièrement avec des artistes dont le travail nous semble être dans la proximité du nôtre. Ces rencontres font de ce catalogue une revue.

Proximités N°2 : l’Illusion

9,00

Proximités N°2 : L’Illusion

La revue « Proximités – arts et littératures » est éditée par l’Atelier IMIS.
Le principe est simple : choisir un thème en lien avec l’actualité et en rapport avec un livre édité par l’Atelier IMIS, le laisser se développer sur une année dans toutes les directions possibles pour aboutir à une exposition fédératrice.
Nous voulions éditer un catalogue qui regrouperait toutes nos réflexions et serait une mémoire, un témoin de cette année de recherche, de travail et de création, avec une volonté d’ancrage géographique, culturel et citoyen.
Il était indispensable de partager ce projet avec d’autres, plus particulièrement avec des artistes dont le travail nous semble être dans la proximité du nôtre. Ces rencontres font de ce catalogue une revue.

Proximités N°1: Proximités / Distances

9,00

Proximités N°1 : Proximités / Distances

La revue « Proximités – arts et littératures » est éditée par l’Atelier IMIS.
Le principe est simple : choisir un thème en lien avec l’actualité et en rapport avec un livre édité par l’Atelier IMIS, le laisser se développer sur une année dans toutes les directions possibles pour aboutir à une exposition fédératrice.
Nous voulions éditer un catalogue qui regrouperait toutes nos réflexions et serait une mémoire, un témoin de cette année de recherche, de travail et de création, avec une volonté d’ancrage géographique, culturel et citoyen.
Il était indispensable de partager ce projet avec d’autres, plus particulièrement avec des artistes dont le travail nous semble être dans la proximité du nôtre. Ces rencontres font de ce catalogue une revue.

Corps quotidien

15,00
On peut, pour faire un livre, partir de l’envie de travailler ensemble. Corps quotidien est né d’une pareille envie, du désir de faire dialoguer images et textes, de les imbriquer, les confronter. La recherche d’une perception globale a orienté ce travail, le corps au centre de tout, creuset de gestes quotidiens, de ressentis, de sensations, de mémoires, d’oubli.
Un dialogue s’est ouvert pour décider du point de jonction entre l’illustration et la narration. Françoise Pélardy et Florence Toussan ont fait le choix d’une forme d’unicité, dans l’association très précise de monotypes et de textes, le compagnonnage des encres et des mots permettant l’acception du corps, jamais idéalisé, jamais banalisé, simplement cerné comme sujet dans son mouvement intérieur.
Hybrider les moments, les rituels, les climats du corps, les restituer dans diverses dimensions, très pragmatiques ou plus poétiques, tel a été le pari. Le passage du temps est un fil conducteur, une traversée de la vie à la mort, plus exactement de la mort à la vie, un cheminement chaotique, dans l’intention de saisir ce qui traverse chacun·e de nous, ce qu’il y a de sensible, ce qu’il y a de commun ou de singulier, ce qui fait l’humain.
Rien n’est univoque, rien n’est figé, le corps bouge et change, il exulte et souffre, tangue souvent. Dans Corps quotidien, l’intimité est restituée par l’expression de la pensée, elle-même exprimée par le langage de la couleur.
Les textes sélectionnés, trajectoires, fragments, sont extraits de plusieurs livres de Florence Toussan, les monotypes originaux de Françoise Pélardy ont été créés spécifiquement pour le projet.

Signes – Formes, formulations, formules

10,00
Chasse aux mots clefs
Je dois les trouver
Pour ouvrir la boîte
De Pandore Aux hyperliens
Ihintza-Chloë Hargous Aranburu est une artiste dont le travail est protéiforme, elle ne s’interdit aucun médium, vidéo, photo, peinture, techniques mixtes, écriture. Si Signes s’attache à l’écriture et à sa relation au dessin, la pensée d’Ihintza-Chloë Hargous Aranburu s’élance sur des chemins non balisés.
Signes est un lieu de réflexion, on y pénètre en invité, guidé par d’intrigantes figures, démons masqués capturés par l’artiste et déployés dans leur saisissante théâtralité. Chacun.e est libre de les laisser dialoguer avec les siens propres.
Des impressions se calligraphient, les mots se disent, se raturent, s’ajustent, cherchent à créer des correspondances, des glissements, un souffle traverse les pages, sensation de synchronicité, nous en sommes témoins, pris dans les rouages d’une mise en scène travaillée au cordeau. Puis se laisse deviner l’autre face de la proposition, son intériorité, parcours intime sans début ni fin, où œuvre finale et recherches ne font qu’un.

À l’œil

10,00
Je vous parle de l’intérieur
d’une fiction entre des murs
pour en faire une scène
Dans la longueur des jours
me terrerai dans des parcelles invisibles
une faiblesse entre les yeux
Face à la lumière. Par les mots et les images, la transmission se fait, passe par l’œil, le monde immense pénètre, impressionne la rétine, dedans s’illumine, pendant la traversée, la cornée se charge de traces, résidus essentiels du passage, couleurs et formes, transparences.
L’artiste opère, sous ses doigts, s’échantillonnent des paysages, impressions fugitives, humaines parfois, abstraites souvent, tandis que se mesurent les émotions, à l’œil. L’image advient. La gratuité du regard fait le reste, l’œil cligne, s’engage. En jeu, le même mouvement, un acte de création, de recréation, de réécriture, dans l’introspection et les réminiscences.
Entre les lignes, prennent place des êtres de chair, des enjeux d’enfance, une certaine nostalgie qui relierait passé et présent, dedans et dehors. On peut s’étonner et rester sur le seuil, une idée en tête, récurrente : On ne se sauvera de rien… ou s’interroger comme le fait Jean-Michel Picard, chiner, tâtonner, se rendre poreux et pourquoi pas fragile. Tenus à l’œil les sens s’alignent, vient le moment de mettre l’intuition sur le bon chemin.

Où et avec qui sommes-nous ?

10,00
Du fond de mon refuge je l’observe
Impuissant
Que voulait-il de plus que son habit de soie ?
Lui si frêle
Dans la bulle de lumière
D’éblouissante folie
Le papillon s’éteint
Poursuivant une réflexion toute personnelle sur la création, l’auteur se laisse traverser par l’époque. Le regard s’engage et loin d’être tranquille, s’étonne, saisit, capture. Par l’entremise des mots, des images, le flux devient litanie. Le monde d’aujourd’hui est à portée de tous mais il nous échappe inéluctablement. Où et avec qui sommes-nous ? demande l’auteur et sans attendre de réponse, il ouvre une brèche où s’émouvoir n’est plus suspect mais soutient autant l’indignation que la capacité à voir sous les apparences.

Stries

10,00
Ce désir d’être un
rétrécissant l’espace.
Retournement
des danses
par la ligne
le trait
Le corps de l’expir,
repos
au pire oubli de soi,
enlever le nombre,
miettes d’haleines cercles mouvants.
Raccourcir
Blanc sur le blanc
comme un pas
dans sa propre trace.
Dans des paysages singuliers où tout semble pouvoir exister, cohabiter, s’aligner, on avance la tête haute partagé entre l’exigence d’une lecture attentive et l’infinie liberté de la musique des mots.
La musique et les mots de Michel Doneda sont comme un souffle dans le silence, une énergie contenue jusqu’à la rupture, l’inattendu d’un grondement, d’une dispersion.
Sur ces chemins de poésie chacun trouve sa propre voix, un pont jeté à prendre deux rives insaisissables et on avance, surpris, étonné, détourné parfois, mais on avance et c’est là l’essentiel.